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Petite merde || En cours
Sam 17 Oct - 14:51
Cade O.O'Clery
Cade O.O'Clery
21
17/10/2020




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" Cade O. Needham "
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Tonku

Informations de bases • Je me nomme Cade Needham, j'ai 39 ans et je suis oubliator. Je suis un Né-Moldu et je le vis bien. ( c’est faux) Le Choixpeau m'avait envoyé à Poufsouffle . Ma baguette est composée de bois de sorbier, 24.6 cm, corne de Jackalope, souple. J'ai choisi Hugh Dancy de pour illustrer ma face.

Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler Débile. J'ai qui ans et j'écris depuis oublie ans. J'aime le et je déteste travail. J'ai trouvé le forum sur des et je trouve que gens. J'ai hâte de jouer parmi vous :3 Et puis sans oublier que dentifrice svp .


Caractère • Viens, on fait une tournée aux Trois Balais !
Certains apprécient ta candeur naturelle, d’autres la détestent ou encore en profitent largement. Ce n’est pas que tu te laisses délibérément marcher sur les pieds, c’est que peu importe la manière dont on peut te le demander, t’aimes aider, plus simplement. Depuis que t’es tout petit, on t’a appris à tendre la main à ton prochain, à y faire plus attention qu’à ta propre personne. Rien ne te fait plus plaisir que de rendre service, de redonner le sourire à quelqu’un ou illuminer sa journée.

À contrario, t’es une boule de stress presque permanente. T’essayes tant bien que mal de le cacher, mais tu vis au fil de tes émotions. En plus de ne pas savoir les cacher, tu n’aimes tout simplement pas le faire. T’as toujours un peu peur de mal t’y prendre et d’empirer l’état de la personne dans le cas où elle aurait besoin d’aide. Faut dire que t’es peut-être parfois un peu maladroit dans ce que tu peux dire, tu parles en même temps que tu réfléchis alors il t’arrive de t’emmêler les pinceaux.

Enfin, tu pars du principe que le ridicule ne tue pas, et que préfères de loin te montrer vrai face aux autres que de commencer à refléter une image d’une personne qui ne te ressemblerait pas. T’as pas vraiment de temps à perdre à jouer à ça, tu préfères t’intéresser aux autres à la place, ou donner ton temps à une cause plus utile, à des gens qui pourraient en avoir besoin. T’es quelqu’un de sans doute trop idéaliste, t’aimes penser que les gens sont foncièrement bons, même si certains le cachent particulièrement. T’arrives pas à penser l’inverse, tu ne peux délibérément pas te dire que quelqu’un soit juste là pour faire du mal gratuitement. Ça part forcément de quelque part, de quelque chose.

Ce dont t’as le plus peur sur Terre, c’est bien de te retrouver totalement seul, sans être entouré de qui que ce soit. T’as toujours vécu entouré d’une ou plusieurs personnes et t’aimes le contact humain. T’aimes particulièrement les moments que tu peux passer avec tes proches, des moments précieux que tu n’échangerais contre rien au monde. T’es quelqu’un d’assez ouvert, à qui il est facile de parler de tout et n’importe quoi, t’essayes toujours de rebondir et de partir sur un sujet qui peut plaire à la personne pour essayer de la mettre le plus à l’aise possible.

T’es quelqu’un de très simple au fond, pas du tout axé sur le superficiel. Ton apparence, t’es bien conscient que tu pourrais en prendre un peu plus soin, qu’un coup de peigne par exemple ne te ferait pas de mal, mais t’y penses rarement. Ta garde-robe que tu traînes depuis des années, t’en as ni l’envie, ni les moyens de la changer. Tu préfères te prendre la tête sur autre chose, sur des questions réellement plus importantes.

T’essayes d’être positif, le plus possible, de voir le bon côté des choses, parce que c’est ce qui marche le mieux d’après toi si on veut avancer dans la vie, c’est aussi ce qui te motive le matin à te lever, de te dire que la journée ne peut que te réserver des bonnes surprises. Bien sûr que ce n’est pas toujours le cas, mais t’essayes de dédramatiser le plus possible, tu te rends bien compte que t’es pas forcément une personne à plaindre, que t’as un toit sous lequel vivre, un travail et de quoi manger dans ton assiette, même si c’est peu. Peu mais totalement suffisant pour survivre.

Ça t’arrive bien souvent d’être un peu trop rêveur, et ce à tous les points. À t’entendre, bouger des montagnes serait à la portée de n’importe qui. T’aimes t’imaginer un monde idéal, ou plus personne ne chercherait du mal à qui que ce soit, un monde où la paix pourrait juste régner et où l’entraide prendrait le pas sur tout le reste. T’es du genre à croire que l’amour est plus puissant que n’importe quoi d’autre et même si t’essayes d’entendre raison lorsqu’on te redescend un peu les pieds sur terre, ça ne dure jamais très longtemps avant que tu ne re commences.

On ne peut pas t’enlever par contre le fait que tu sois quelqu’un qui travaille assez dur. T’as souvent galéré plus jeune avec tes études, mais t’as su surpasser les difficultés malgré tout, et avancer plus ou moins comme tu le voulais. Tu t’es toujours dit que tant que t’appréciais un minimum ce que tu faisais, c’était le plus important. Ça et de ramener un minimum de fonds à ta famille, aussi.

T’as un sens moral assez pointu, qui te pose bien souvent des problèmes. Sans doute la première raison de tes prises de tête avec toi-même. Une chose est certaine, tu veux faire le bien autour de toi, œuvrer au bien aussi. Mais tu ne fais pas toujours les bons choix, t’as même un don assez incroyable pour te mettre dans tes situations rocambolesques et même plus familièrement, merdiques. T’as tendance à être un peu bordélique, que ce soit avec tes affaires ou même tes pensées, à vouloir toujours faire une tonne de choses en même temps, mais même si ça peut te prendre pas mal de temps, l’idée d’en abandonner un ne te viendrait pas du tout à l’esprit.

Si t’aimes encore bien bouger en temps normal, un de tes moments préférés de la journée reste quand même le soir, le moment où tu peux enfin regagner ton lit et t’endormir telle une masse. Quand t’as un jour de libre, t’es bien capable d’au choix de dormir pendant des heures, ou d’y rester sans rien faire. C’est un peu comme avec toutes les sucreries que tu pourrais trouver, tu ne peux tout simplement pas y résister.


Histoire • J'suis encore à cours de Poudre de Cheminette !
T’as pas une vie extrêmement passionnante, en tout cas pas d’un point de vue d’un sorcier. D’un point de vue d’un moldu c’est autre chose. T’es né dans une famille de l’un d’eux, élevé comme l’un d’eux pendant des années, sans aucune connaissance de la magie, bien loin de ce monde qui avait fini par s’imposer à toi sans que personne ne le voit réellement venir. Il y avait eu à quelques reprises des phénomènes bizarres, que ce soit lorsque tu étais seul ou avec une de tes trois sœurs. Vous étiez une famille soudée, ce que vous n’avez jamais cessés d’être, même une fois la surprise passée en se rendant compte des pouvoirs que tu pouvais détenir.

T’avais eu un peu de mal à les quitter le jour de la rentrée, même beaucoup parce que tu ne t’étais jamais retrouvé sans elles ou sans tes parents. Ça avait été stressant, surtout lors du voyage, mais tu t’étais rapidement fait des amis avec les quelques personnes qui partageaient ton compartiment. T’avais toujours eu des facilités pour aller vers les gens, voir même pour te faire des amis tout simplement. Alors ça t’avait pas mal déstressé, même si tu ne connaissais rien à ce monde, au moins tu avais quelques personnes autour de toi sur qui tu pouvais un minimum compter.

Tu t’étais retrouvé à Poufsouffle avec quelques-uns d’entre eux, une maison qui, tu l’as appris au fil des années, te correspondait plutôt bien. T’avais même l’impression que pour la plupart elle était parfaitement étrangère à cette concurrence qui s’installait entre les autres, et tu ne le vivais pas plus mal. T’avais déjà pas mal à faire et gérer avec les quelques personnes qui semblaient faire une fixette sur ton statut de sang et semblaient être on ne peut plus concerné par le fait de te le rappeler toutes les deux jours. Hormis ça, tu vivais plutôt bien ta scolarité, encore plus lorsque tes sœurs arrivèrent à Poudlard à leur tour. C’était on ne peut mieux de les retrouver, de pouvoir passer des moments spéciaux avec elles aussi.

T’as même trouvé que ces ept années s’étaient passées un peu trop vite, tu ne savais pas trop quoi faire par la suite, parce que t’aimais un peu tout, en fait. Alors avant de te lancer dans des études, t’avais enchaîné des petits travails dans Londres, ça ne te dérangeait pas plus que ça, surtout lorsque t’avais réussi à décrocher un poste de vendeur sur le Chemin de Traverse. T’avais pas mal de contact avec les gens, et on ne risquait jamais de s’ennuyer.

Tu n’as même pas cherché à faire autre chose pendant des années, parce que ça te convenait, parce que tu t’entendais extrêmement bien avec le teneur de la boutique, et que t’avais envie de te poser un peu plus aussi. C’est aussi durant ces années que t’as rencontré Kaus, quelqu’un que tu avais considéré comme un bon ami pendant un petit temps avant de te rendre compte que c’était un peu plus fort que ça. Même bien plus fort que ça. Ça ne t’avait jamais dérangé le fait d’être attiré par les hommes, tes parents étaient vraiment ouverts là-dessus aussi, ça avait sans doute aidé.

Tu te sentais bien avec lui, c’était un peu le but d’une relation d’ailleurs, assez pour finir par le présenter à ta famille, ça avait toujours été quelque chose d’important pour toi, de ne pas leur cacher quoique ce soit, et puis c’était important aussi. Tu comprenais que ce soit plus difficile de son côté, tu ne lui en avais pas voulu, même si ça avait fini par te peser un peu, le fait de devoir se cacher, de devoir toujours faire attention. Tu lui en avais parlé et t’avais espéré lorsqu’il t’avait qu’il se déciderait à le leur dire. Sauf qu’il s’était trouvé des excuses, et si tu les avais acceptées au début, ça avait fini par devenir lourd, jusqu’au jour où tu t’avais bien du te rendre à l’évidence que ça ne s’arrangerait jamais, qu’il ne s’y déciderait jamais non plus.

Ça t’avait mal, de te décider à le quitter, encore plus de t’y tenir, mais tu savais que ce n’était pas le genre de vie dont tu voulais. T’avais préféré t’investir encore plus dans ton travail pour éviter d’y penser, ce qui n’était pas quelque chose de facile, étant donné qu’il n’avait pas eu l’air de vouloir lâcher l’affaire, jusqu’à ce que tu ne te décides de t’énerver un peu et de couper totalement les ponts. Un geste que tu regrettes encore aujourd’hui, mais ce n’était pas comme is vous pouviez changer ce genre de choses.

Puis petit à petit, cette guerre s’est profilée, et si tu préférais ne pas prendre de camp, t’avais pas pu t’empêcher d’avoir un peu peur, que ce soit pour ta famille ou même l’avenir du monde en général. Alors quand t’as entendu parler de l’Ordre, t’as pas pu t’empêcher de t’y intéresser de plus près, et même de t’y engager après quelques mois d’hésitation. Finalement, ça t’allait plutôt bien d’être impliqué, ça te donnait une raison de te changer les idées aussi. Puis tu te disais que tu ne pouvais que protéger ta famille de la sorte. Du moins c’était ce que tu croyais.

Parce qu’après quelques temps là à vivre ta vie comme tu l’entendais, le teneur du magasin était décédé de vieillesse, son fils avait repris l’affaire et ce n’était plus du tout la même ambiance. Ça ne te plaisait plus autant qu’avant, voir même pas du tout. Alors tu t’étais décidé à changer, à te reconvertir même. T’impliquant de plus en plus dans l’Ordre, tu t’étais dirigé vers le Ministère, si tu arrivais à l’intégrer, tu pourrais leur donner des informations plus ou moins intéressant, et c’était pour le bien commun.

Ça ne s’était pas présenté directement, mais t’avais réussi finalement à avoir un poste en tant qu’oubliator. Un travail au final assez proche des moldus que t’aimais bien aussi. Dans lequel tu plaisais pas mal.


© Halloween
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