A ma grande peine ...
A – Vous vous éloignez prudemment et décidez de trouver la sortie seule. Vous avez comprit qu'il vaut mieux ne pas prendre racine ici.
Un malaise s'installe en vous quand vous ne l'avez plus en vue. Peut-être devriez vous courir le plus loin possible sans retour. Ce mec vous a vraiment foutu les chocottes. Liam a peut-être fait apparaître ses petits copains pour vous piéger et ça vous angoisse.
Soudain, le troisième année apparaît devant vous. Et aussi derrière et de chaque côté. Il a un don d'ubiquité en plus ce salaud ! Déglutissant, soutenez ce regard glacé qu'il vous adresse sans ciller. Sans trop ciller du moins. Vos mains tremblent et vous entendez ses pleurs de toutes parts. Il vous accuse de l'abandonner.
Puis d'un coup, il ne redevient qu'une seule personne, face à vous. Il vous semble plus décidé que jamais à vous garder avec lui. Les parois du labyrinthe ont l'air de s'être rapproché et il vous sourit, vous expliquant que si vous réussissez à sortir du labyrinthe végétal avant qu'il ne se referme sur vous, vous serez sauvé et qu'il vous laissera en paix. Bien sûr, vous vous enfuyez. Et vous vous retrouvez à un croisement, hésitant.
A – Vous prenez à gauche, parfaitement sûr que c'est pas là que se trouve la sortie, la gauche vous a toujours porté chance.
B – Vous continuez droit devant, ainsi vous êtes sûr de ne pas vous perdre, vous savez à quel point cela peut être dangereux.
C – Vous prenez à droite, peu sûr mais surtout déterminé à vous en sortir. Vous y arriverez, par n'importe quel moyen.
D – Vous retournez en arrière, persuadé que tout cela est un piège. Vous voulez retrouver le mec en cuir et lui piquer son lance-flamme.